3 leviers publicitaires qui vont booster votre acquisition en ligne
Le marché de la publicité digitale enregistre une hausse constante depuis plusieurs années, dépassant même tous les autres investissements publicitaires « classiques ». C’est que l’acquisition payante est un levier particulièrement efficace, quel que soit le domaine concerné et la taille de l’entreprise. En grande partie, parce qu’elle permet de cibler avec précision les destinataires des messages marketing – et de gagner en visibilité bien plus rapidement qu’avec toute autre méthode. Pour autant, il ne faut pas croire que la publicité en ligne se limite aux seuls Google AdWords, certes très performants, mais de plus en plus distancés par l’acquisition payante sur les réseaux sociaux. Découvrons ensemble 3 de ces leviers publicitaires auxquels vous n’avez pas encore pensé, mais qui vont booster comme jamais vos performances marketing !
1. La puissance des leviers publicitaires Facebook (et particulièrement des Facebook Ads)
Certaines entreprises en sont encore à se demander si elles doivent (ou pas) ouvrir un compte Facebook à usage professionnel. Pendant qu’elles tergiversent, leurs concurrentes, elles, profitent de la manne offerte par la plateforme de Mark Zuckerberg : en 2016, Facebook a capté 68 % de l’ensemble des revenus publicitaires générés par les réseaux sociaux (étude eMarketer). On estime à 6 millions le nombre d’entreprises qui utilisent ce levier d’acquisition.
En très peu de temps, les annonces payantes Facebook sont devenues des leviers publicitaires extrêmement puissants. Cela, grâce aux multiples avantages des publicités dites « dynamiques » : celles-ci combinent automatiquement différentes méthodes marketing et différents facteurs pour composer les publications les plus pertinentes en fonction de vos segments d’audiences. Pour le dire autrement : Facebook tire le meilleur parti de vos contenus (titres, descriptifs, images, vidéos, call-to-action…) pour définir lui-même ce qui est susceptible de fonctionner auprès de vos prospects parmi une multitude de possibilités, en favorisant toujours la variante la plus performante.
Ce dynamisme, c’est ce qui fait tout l’intérêt des Facebook Ads comme leviers publicitaires qualitatifs et rentables. Une étude Wordstream de 2017 montre que le coût par clic moyen sur ces annonces est de 1,72 dollar (soit bien moins que les AdWords : 2,32 dollars) pour un taux de conversion moyen de 9,21 %, ce qui est très élevé (à comparer aux 2,7 % sur le Search pour les AdWords). Il est d’autant plus urgent de s’intéresser à ces leviers publicitaires que l’algorithme de Facebook change régulièrement dans le sens d’une moindre efficacité de la portée organique (la potentialité de toucher des prospects grâce à des publications gratuites) au profit de la publicité.
2. L’efficacité du ciblage sur LinkedIn
LinkedIn est un outil pratique à de nombreux égards, même dans le cadre d’une utilisation standard. Mais le véritable potentiel du réseau se révèle quand on met les mains dans le cambouis des leviers publicitaires : les annonces payantes proposées par la plateforme se caractérisent par une efficacité de ciblage tout à fait impressionnante. Et cela, sur un segment (l’acquisition en ligne B2B) qui reste relativement étroit.
Le réseau permet en effet de diffuser des annonces à des cibles spécifiques en fonction d’un grand nombre de critères. Par exemple : la taille de l’entreprise, le secteur d’activité, l’expérience (viser exclusivement les cadres seniors ou les décideurs), l’appartenance à un groupe… Vous pouvez également cibler une seule entité et diffuser le message auprès de l’ensemble des employés. Ou bien opter pour un mix de critères, en comptant au passage sur la multiplicité des leviers publicitaires disponibles (Text Ads, Display Ads, Sponsored InMails, etc.). Avec la possibilité de s’appuyer sur une application récente et particulièrement efficiente : l’Audience Network.
L’autre avantage des leviers publicitaires LinkedIn, c’est l’aspect « natif » des annonces. Contrairement à Facebook, où l’on différencie aisément les contenus standards et les contenus payants, les posts sponsorisés sur LinkedIn ne sont pas aisés à détecter. D’autant plus que les publications émanent des entreprises et/ou de leurs employés, ce qui tend à brouiller encore plus la frontière entre les catégories. Résultat : une grande part de l’audience regarde les annonces payantes comme des publications organiques.
Certes, le coût par clic moyen est plus élevé qu’ailleurs (2,5 euros). Mais la qualité du ciblage et un taux de clic étonnant (avec des pics à 4 % !) expliquent pourquoi les annonceurs n’hésitent plus à puiser dans leur budget marketing pour profiter des leviers publicitaires LinkedIn.
3. La pertinence du remarketing façon Twitter
Au fil du temps, la hype Twitter a fini par retomber en raison de leviers publicitaires peu efficaces, surtout en regard du concurrent Facebook qui capte l’attention des marketeurs. Malgré cette déchéance, il est un outil publicitaire du réseau à l’oiseau bleu qui peut s’avérer particulièrement pertinent quand il s’agit de donner un coup de boost à votre acquisition en ligne : le remarketing.
Le principe est simple : vous intégrez une balise Twitter sur les pages de votre site web qui vous renseigne sur les comportements des visiteurs, et vous permet de diffuser des annonces adaptées aux internautes qui ont manifesté de l’intérêt pour vos produits/services, ou plus globalement pour votre marque. Tout cela, via le système des audiences personnalisées – la botte secrète du réseau. Il ne faut pas oublier que Twitter reste très apprécié des utilisateurs (330 millions de membres actifs mensuellement, dont 22 millions en France) : c’est la promesse de pouvoir toucher une audience relativement large.
Dans une perspective B2B, ces leviers publicitaires Twitter peuvent être redoutables d’efficacité. Surtout si vous hésitez à vous lancer dans une campagne LinkedIn, puissante mais plus coûteuse. Le plus intéressant restant d’utiliser Twitter en complément d’autres leviers publicitaires, et notamment en sus de Facebook – qui conserve la première place pour ce qui est de l’acquisition payante en B2C.